Les algèbres de Hecke du groupe de réflexions complexes $G(r,1,n)$, aussi appelées algèbres d’Ariki–Koike, sont des exemples d’algèbres cellulaires. Cette notion permet entre autres de construire facilement une famille complète de modules irréductibles à partir d’une base « cellulaire » de l’algèbre. Dans cet exposé, je montrerai comment élargir cette notion de cellularité à la sous-algèbre correspondant à l’algèbre de Hecke de $G(r,p,n)$.